La sortie d'emprise ou Exit Counseling

L’Exit Counseling est une spécialité encore méconnue en France car d’origine Américaine elle a été peu diffusée même si différentes affaires médiatiques ont pu mettre notre équipe en lumière.

Avec plus de 20 ans d’expériences, les spécialistes qui ont créent la SFRAEM et la compose aujourd’hui sont intervenus dans des dizaines de dossiers, tant dans le cadre de groupes sectaires internationaux que de groupes régionaux à petit effectif, regroupés autour d’un gourou ou d’une gourelle ayant crée sa propre doctrine aux teintes ésotériques, mystiques, pseudo-religieuses et souvent sexuelles.

En effet, l’équipe évalue chaque demande peu importe la taille du groupe sectaire ou sa renommée nationale ou internationale.

Ces dérives ont conduit l’équipe à se déplacer en Europe et à travailler en partenariat avec nos homologues Américains sur des dossiers menés conjointement, chacun apportant sa pratique et son expérience.

Forts de l’accompagnement d’une centaine de victimes, adultes et enfants, la SFRAEM leur a permis de reprendre le cours de leurs vies respectives et pour certains faire condamner et incarcérer ces manipulateurs préjudiciables à travers toute la France.

Notre pratique de l’Exit Counseling pluri-disciplinaire, permet la prise en charge de l’ensemble des phases de cet accompagnement spécialisé, les exit counselors apportant leurs compétences de l’évaluation de chaque sollicitation à l’accompagnement au procès des victimes directes et indirectes.

Chaque année l’Exit Counseling permet en France à des familles de se retrouver, de quitter l’emprise qui impacte tant l’adepte que ses proches qui passent par des phases d’inquiétude et de découragement, ces situations se révélant souvent dramatiques.

 Les exit counselors de l’équipe accompagnent et soutiennent tous ces processus, au sein d’une équipe unie et travaillant au quotidien sur ces problématiques.

Ces techniques particulières visent la sortie de l’emprise mentale ou de processus de manipulation dans un cadre légal, sur demande de proches et dans l’intérêt du sujet, si et seulement si les actes de sujétion psychologique ou de manipulation ont été identifiés et validés par l’équipe.